mardi 26 juin 2018

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Ouvrons les pages...


et le parapluie....

Je suis bien consciente de ne  pas détenir la science infuse, je ne parle que de ce que je connais  et comme je ne connais pas tout, il y aurait encore beaucoup de choses à dire sur les divers sujets que j'aborde  parce qu'ils me galvanisent, m'agacent, me stoppent, me décoiffent etc. 

Si ça peut donner à certains l'envie d'aller chercher plus loin et par eux-mêmes, c'est Youpee !















dimanche 13 mai 2018

Le savoir à reculons (moi j'aime bien)



LOREM IPSUM  :Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. 
Ce "Lorem ipsum" est en imprimerie, un texte sans signification, dont le seul objectif est de calibrer le contenu d'une page par du texte, fût-il non éditorial, pour travailler sur la seule mise en forme de la page. Le texte définitif (qui a une signification) prendra la place du faux-texte, une fois que la mise en forme sera jugée acceptable. A rapprocher - mais à ne pas confondre -du BOLO BOLO qui est lui un texte composé de lettres aléatoires.

 LA COULEUR dite "ISABELLE" :  Jaune pâle ou café au lait. Date de fin 16ème début 17 ème l’archiduchesse quand Isabelle d’Autriche  fit vœu de ne pas changer de chemise tant que son mari ne serait pas revenu de la guerre.... qui dura 3 ans.  A mon humble avis, la couleur devait plus tirer sur le vieux caca d'oie mais bon, je ne vais assassiner la légende.

L'ETERNUEMENT : La coutume de saluer un éternuement date de l’antiquité ; ce serait l'empereur Claudius  Tibère qui le premier aurait exigé.  « Un Jupiter te conserve et t’assiste »  Ce fut cette formule qui fut reprise à l’avènement du christianisme en subsistant le nom de Dieu à celui de Jupiter. Ca me rappelle que dans mon enfance on disait : "Que Dieu te bénisse et te fasse le nez comme j’ai la cuisse ». 

LE CHIFFRE 13 :  Le 13 est-il  un destructeur d'harmonie ? Les Grecs et les Romains donnaient eux-aussi à ce nombre une connotation négative.     En Italie, c'est le chiffre 17 et non le 13 qui est associé à la malchance. En effet, en chiffres romains, 17 s'écrit XVII. Ce chiffre est l'anagramme de VIXI, qui signifie en latin "j'ai vécu", interprété, par extension, comme "je suis mort"!   En Chine, c'est le 4 (qui se prononce, "shi", la mort) qui est effrayant et non le 13. Ce dernier chiffre est, au contraire, associé à la vie. J'ai connu personnellement un hotel qui ne numérotait pas 13 mais 31 ; on passait ainsi du 12 au 31 et l'on revenait au 14 ....

LA NUIT : C’est en 1992 que l’UNESCO      a déclaré le Ciel Nocturne comme "Patrimoine Mondial de l’Humanité ». « Attendu que l’alternance du jour et de la nuit règle depuis un milliard d’année la vie animale et végétale sur terre. «  mm humaine. La vraie nuit est en danger. L’espace nuit est colonisée par les avancées techniques et     la où autrefois régnait l’obscurité , aujourd’hui s’étendent ttes les activités dues à l’électricité, aux transports, aux technologie moderne. Et l’homme dans tout ça ? Pan !  Contrairement à nombre d’animaux, l’homme est un bestiau diurne. La nuit est son espace –temps de repos obligatoire : il se repose, digère les informations pur en faire le tri. Les os se forment, la peau se régénère.


GUILLOTINE : le 23 avril 1792 Nicolas Pelletier est le premier homme à être guillotiné pour vol   à Paris, le 25 avril 1792 en place de Grève.  La foule, habituée jusqu'ici à des exécutions capitales pouvant durer parfois plusieurs heures et provoquant d'horribles souffrances chez le supplicié, est déçue de la rapidité et de l'efficacité de celle-ci grâce à la toute nouvelle machine, et hue alors le bourreau Sanson. 

LES CHEVAUX CELEBRES : Iris XVI, cheval de l'armée française fut exécuté par les allemands durant la seconde guerre mondiale pour "acte de résistance"  : il tua d'un coup de sabot un commandant allemand. Bucéphale, le cheval d'Alexandre le Grand ; magnifique et fougueux, il avait peur de son ombre. Pour remédier à ce défaut, Alexandre le fit combattre face au soleil et gagna de nombreuses batailles. Alexandre créa la ville de Bucéphalia en son honneur. Marengo, cheval de Napoléon ; son squelette est exposé au musée  national de l’armée de l’académie royale militaire à Chelsea Angleterre (!). Serko effectua le + long raid équestre de tous les temps avec son cavalier cosaque Dimitri Pechkov en 200 jours soit près de 9000 kms à travers la Russie .
Pour le clin d'œil supplémentaire : Rossinante – « Don Quichotte » de Miguel de Cervantès.
Tornado – Le cheval de Zorro.
Pégase – Cheval ailé divin (représenté le plus souvent en blanc).
Flicka le héros à quatre pattes créé par Mary O'Hara et que l'on retrouve dans de nombreux livres.   Jolly Jumper.
D'autres encore ?  


LA GRIPPE ESPAGNOLE :  Elle fit + de morts que la 1ère guerre mondiale : de l'automne 18 au printemps 19, elle tua en 5 mois 20 millions de personnes dans le monde. La guerre du 1er aout 14 au 11 novembre 18 fit 5 millions - seulement -  de morts. 

COCORICO POLYGLOTTE : En Allemagne, le coq chante : "kikeriki", en Angleterre : "Cok a doodle do", en Italie : Chicchirichi".


PORTER LE CHAPEAU : Etre un bouc-émissaire.  Date de l’inquisition qui envoyait les hérétiques au bûcher coiffés d’un chapeau conique afin que Satan puisse les reconnaître.

LES COMPTES DE LA PREMIERE GUERRE MONDIALE :   Avec le montant des dépenses effectuées on aurait pu construire une maison de 3 pièces dotée d’un mobilier de bonne valeur plus un terrain potager à chaque famille des Etats-Unis, de France, du Canada, Australie, Angleterre, Irlande Ecosse, Belgique, Allemagne, Russie. Il serait resté suffisamment de fonds pour équiper toutes les villes de  + de 20.000 habitants d’une bibliothèque avec livres d’une valeur d'1 milliard 1950 et une université de deux milliards. Pas fini, il serait resté « un petit qq chose » dont l’intérêt de 5 % aurait suffi à payer le salaire de 125000 instituteurs et 125000 infirmiers.



LA CHAIR DE POULE :  Face à l'abaissement de la température, la chair de poule est un reflexe provoquant des contractions musculaires qui engendrent à leur tour de la chaleur pour aider au réchauffement de l'individu et les poils se dressent pour retenir la chaleur du corps. Totale réminiscence de la préhistoire. La peau prend alors un aspect hérissé semblable à la chair de la poule.

LE QUATRE D'HORLOGER : Le "4" en chiffre romain s'écrit normalement IV. Or, sur les horloges de gare et  beaucoup de grosses horloges on le retrouve en IIII. Porqué ? Par souci d'équilibre, la partie droite du
cadran étant beaucoup moins chargée en signes que la partie gauche.... bref, ça fait + joli. Mouais...

LA SEMAINE DES QUATRE JEUDIS : Déjà utilisée au XVe siècle, cette expression ne mentionnait que 2 voire 3 jeudis. En fait, le jeudi était un jour "gras" par opposition au vendredi qui était "maigre". Rabelais (qui en a fait d'autres) évoque en 1530 dans Pantagruel "la sepmaine des troys jeudis" - en vieux français - voulant exprimer qu'il aurait  préféré une semaine avec + de jours gras. Le jeudi étant à partir de Jules Ferry le jour de repos des écoliers, on comprend que l'expression est alors repris du service.


TOUS LES ALPHABETS DU MONDE proviendraient de la même source proche-orientale.
(Encyclopédie Hachette). Il est frappant de remarquer que l'ordre des lettres est toujours le même et correspond à peu près à celui des divers alphabets. On le sait maintenant, tous les alphabets ont une origine commune : l'alphabet du pays de Canaan (nommé abusivement "alphabet Phénicien" par les grecs, ce sont en effet les marchands phéniciens qui le leur ont fait connaître).  L' alphabet phénicien consonantique comporte  22 lettres. Les lettres sont des symboles destinés à représenter plus ou moins précisément les sons d’une langue.


LE CHAPEAU DE NAPOLEON : Napoléon aurait durant 15 ans (1800 à 1815) commandé environ 120 chapeaux chez son fournisseur attitré Paupart ; un petit feutre noir sans bordure ni galon orné simplement d’une cocarde tricolore soutenue d’une ganse de soie noire alors que la mode pour les chapeaux d’homme de l’époque était d’une grande richesse. Les premiers couvre-chefs furent facturés 48 F puis 50 puis après la victoire d’Austerliz, 60 F que Napoléon réduisait sans hésitation à la somme de 50 F. Il  resterait une dizaine de chapeaux authentifiés : Le plus ancien, celui de la bataille de Marengo est au musée de l'Armée,
2 aux Invalides, 1 au musée de Fontainebleau, celui que Napoléon portait à Wagram est au musée de Bordeaux et les autres chez des collectionneurs ou des vieilles familles.


LES BOUGIES D'ANNIVERSAIRE : Les grecs puis les romains croyaient qu'à chaque naissance s'attachait un esprit protecteur. C'est donc pour le solliciter et attirer sa bienveillance qu'ils allumaient une chandelle ; de même, des gâteaux de miel  ronds comme la lune étaient déposés en offrande dans les temples de Diane. Cette croyance jugée païenne a disparu au fil des siècle pour réapparaître au XVIII è en Allemagne lors des fêtes d'anniversaire (Kinderfeste). Imagine-t-on désormais un gâteau d'anniversaire sans ses bougies ?

LE FRANC : (paix à son âme) est émis en 1360. C’est une pièce d’or de 3,87 g frappée à 3 millions d’exemplaires durant la guerre de 100 ans pour payer la libération du roi Jean le Bon capturé par les anglais. Le terme "Franc" signifie que le roi est « franc » des Anglais cad libre. Le Franc remplace  la Livre Tournois ainsi nommé parce que frappée à l’Abbaye Saint Martin de Tours.
      Franc à cheval.

Avant d'employer des BOUCHONS DE LIEGE  pour fermer les bouteilles, on versait une légère couche d'huile sur le vin pour le protéger. De là la coutume de verser l'entame de la bouteille dans son propre verre avant d'en offrir.

LE NOMBRE 28
possède la propriété singulière d'être la somme des 7 premiers chiffres :
28 = 1+ 2 + 3 + 4 + 5 + 6 + 7

LA PEINE DE MORT (loi du 21 mars 1803) bien qu'abolie en 1981 figure toujours dans le Code Civil ! Article 85 : "Dans les cas de mort violente en prison, maison de réclusion ou d'exécution à mort, il ne sera fait aucune mention dans les registres sur ces circonstances et les actes de décès seront simplement rédigés sous les formes prescrites à l'article 79". Léger oubli...


LE JEU N'EN VAUT PAS LA CHANDELLE : Jusqu'à l'arrivée de l'électricité, il fallait des milliers de chandelles par soirée pour éclairer un théâtre. Si les bénéfices rapportés par la représentation étaient trop maigres et qu'ils ne couvraient pas les frais, on disait que le jeu (des acteurs) ne valait pas la chandelle.

LES PREMIERS HAUTS TALONS en France ont été inventés pour...... les hommes.  Lorsqu'ils apparaissent au XVII ème siècle, ils se situent sous la cambrure du pied et ne trouveront leur place actuelle que dans la seconde moitié du XIX ème. Jusqu'à cette époque également, on ne faisait pas la différence entre le pied droit et le pied gauche.  Les Grands Chevaux de Lorraine est le nom donné  à deux groupes de famille de haute naissance qui fréquentaient la cour des Ducs de Lorraine à Lunéville et la mode voulant que ces gentilshommes se perchassent sur de hauts talons que l'on appelait "grands chevaux". C'est aussi - peut-être- l'origine de l'expression "monter sur ses grands chevaux".


 MOURIR D'UN CHAGRIN D'AMOUR  : Oui, tout-à-fait, c'est le syndrome des "cœurs brisés". Maladie du muscle cardiaque  survenant  après un choc émotionnel violent.  Les glandes surrénales produisent brutalement une grande quantité de catécholamines comme l’adrénaline ou la noradrénaline. Ces hormones contractent les vaisseaux et accélèrent le cœur jusqu’à le paralyser. Et qu’il s'arrête de battre.





dimanche 6 mai 2018

La route des coucous


 Le principe de trinquer date d'une époque (moyenâgeuse) où l'on utilisait les poisons avec une facilité déconcertante. Le but était  de faire s’entrechoquer les verres assez fort pour que les liquides des deux récipients débordent et se mélangent  empêchant ainsi tte envie de glisser du poison dans le verre de l’autre.
Les premiers couteaux de table respectaient l’année liturgique : leur manche étaient noirs (ébène) durant le carême et blancs (os ou ivoire) à Pâques.
La chérophobie est la crainte de la gaieté, du bonheur, de la joie. Les chérophobes pensent qu’après un événement joyeux survient toujours un événement tragique. 
 Pendant longtemps, mm un simple bout de corde porté sur soi était garantie de chance... Mais la plus réputée était la corde de pendu de préférence sans pendu au bout évidemment. A tel point, qu'elle était vendu à prix d'or, au centimètre, soit par le bourreau soit par la famille soit par le pendu lui-même qui anticipait  son supplice.

PANIQUE : Pas de panique, le mot vient du dieu Pan. Dans la mythologie grecque, c'était une divinité de la Nature, protecteur des bergers et des troupeaux. Il est souvent représenté comme une créature chimérique, mi-homme mi-bouc, à l'image des satyres dont il partage la compagnie. Mais, il avait la manie d’apparaître brusquement pour faire peur frayeur aux hommes ce qui causait une peur panique.

SARDONIQUE : Vient du fait que lorsque l'on portait à sa bouche une herbe appelée "sardonie" ou renoncule de Sardaigne, on souffrait d'une  paralysie faciale temporaire qui provoquait une rictus convulsif . Le mot n’est pratiquement employé que dans l’expression "rire sardonique". 

Le mot "mayonnaise"   viendrait de Port Mahon. C’est le maréchal de Richelieu qui rapporta la recette en 1756 après la prise de la vielle , on l’appelait alors mahonnaise;


Non contente de pondre ses œufs dans le nid d’une autre espèce, la femelle coucou imite le cri de l’épervier – redoutable prédateur – pour dissuader le légitime propriétaire  de revenir sur les lieux…

L'expression '"Jeter de la poudre aux yeux " date des premiers  Jeux Olympiques : les pistes étaient en terre battue et les coureurs les + rapides faisaient lever la poussière de la piste pour aveugler ceux qui venaient derrière.

Le premier PV pour excès de vitesse de l’histoire automobile française a été attribué à une femme, la
duchesse Anne d’Uzès de Mortemart, le 7 juillet 1898. A cette époque, la vitesse maximale autorisée
en ville était de 12 km/h et de 20 km/h en rase campagne.


C'est vrai que la France est la Patrie des "Droits de l'Homme" !!!
Article R 4228-20 du code du travail stipule qu’aucune boisson alcoolisée n’est autorisée sur le lieu de
travail sauf : la bière, vin, cidre et poiré. (????)

Depuis plus de  3000 ans le sifflement est interdit en Chine ; L’empereur Chang le prohiba par décret
pensant que cela gênait les Dieux. 



La girafe mesure jusqu'à 6 M de hauteur. Son système vasculaire très complexe au niveau des pattes s'apparente à des bas de contention et a été étudié pour la fabrication des combinaisons anti-G.

La viralité : On peut appliquer le terme de « viralité » à deux phénomènes humains : le fou-rire et le bâillement. Certains se mettent à bailler rien qu’en attendant le mot. Mais plus curieux, le bâillement est contagieux également chez les chimpanzés et les chiens. Mieux, il pourrait être inter-espèces : un chien regardant son maître bailler peut se mettre à bailler aussi. Avis à ceux qui ont un chien – ou un chimpanzé – et qui veulent tenter le test….


UT queant laxis
Resonare fibris
Mira gestorum
Famuli tuorum
SOLve polluti
Labii reatum
Sancte Iohannes

C'est un hymne à saint Jean qui sera utilisé pour nommer les notes.

Le UT trop sourd (difficile à chanter dans les exercices de solfège) a été remplacé au XVIIIe siècle par DO, forgé au hasard.





Le Baeckeoffe  délice culinaire alsacien comporte 3 viandes  en égard aux 3 religions  traditionnelles en Alsace : le bœuf  pour les catholiques,  le  porc pour les  protestants, l'agneau pour les juifs..

La véritable pâte à galette bretonne n’est composée que de blé noir, de sel de mer et d’eau.

Une soupe pas pour l’hiver ? La soupe champenoise qui se compose de citron vert, de Cointreau, de sucre de canne et se sert comme apéritif.

La + importante colonie d’hippocampes d’Europe se trouve dans  l’étang du Thau. Des plongeurs du monde entier viennent l’admirer. Ces hippos sont une propre espèce, génétiquement différente de ceux que l’on trouve en mer.

Pourquoi un homme ne peut-il être beau et intelligent à la fois ? Parce qu’il  serait une femme !!!
La caille margotte, la chouette froue, la cigogne craquète, le daim brame, le dindon glougloute, l'hirondelle trisse, l'oie cacarde, le poussin piaule, le renard glapit.
La girafe ne fait rien ; elle demeure muette puisqu'elle est privée de corde vocales.



Nous passons dans notre vie :
30 ans debout
25 ans couchés
17 ans assis
7 ans à manger
6 ans à travailler
531 jours à s'habiller
500 jours à faire la queue
159 jours aux toilettes
110 jours à faire l'amour
32 jours à se brosser les dents.

































dimanche 29 avril 2018

SIGNATURE


LA VERITE :  « Le mensonge est nécessaire pour permettre à la vérité de se reposer »….. Donc, le mensonge serait le RTT de la vérité ! Pourtant, la vérité de nos jours ne risque gère le burnout, elle ne court guère de risque d’usure parce que trop utilisée, c’est mm un matériau plutôt en voie de disparition. La vérité,  celle qui sortait tte nue du puits.  Mais, si, allons, un petit effort, la vérité…. Comment ça, elle n’existe pas ? Ou plus ? Tout le monde ment ? Enfin, bref. De ttes façons, la vérité vraie n’existe pas, tt au moins dans sa réalité intrinsèque et c’est là que je deviens un peu + indulgente, parce qu’il existe ttes sortes de vérités, chacun à la sienne, quelquefois en toute bonne foi, c’est un fait, on la voit telle que l’on la croie et l’on veut y croire alors on y croit,  d’autres par vice  déflorent  la vérité pour la faire correspondre à la taille de leur pieds et la chausser en tte impunité ; sans aucun souci, ni gène, ni scrupule. Et tant pis pour les crédules ou les idiots qui se laissent berner. 
C’est la vérité, je le jure.

A L'AMENDE  : Je vais faire amende honorable. Pour une fois. Une seule, inutile de se faire des illusions, ça ne deviendra pas une habitude… Je n’aime généralement pas du tout - j’en ai mm horreur, ça me hérisse le poil - des clichés, poncifs et stéréotype. Je me fais une fierté de chercher et trouver le mot, la phrase  la formule qui n’est pas celle de madame tout le monde. Il en est une particulièrement qui me tape sur le système, c’est « se ressoursser, resourcer, ressourcer ! » Je ne sais mm pas l’écrire .  Certes, c’est très jolie une petite source, c’est frais c’est vif, c’est gai,  donc j’ai voulu connaitre l’origine de l’expression et en savoir plus.  Plus, il y a : l’Académie Française parle de « ressourcement » qui aurait dérivé en « ressourcer »  et précise « Le mot perd évidemment son sens dans des emplois confus ». L’Aca, je suis d’accord avec toi. J’ai mm lu que se ressourcer signifiait « revenir à ses racines » Ah bon ? Pourquoi alors pas se « reraciner ». Bref, je m’éloigne, je m’éloigne. Je voulais dire que dernièrement, j’ai mis   mes nouveaux vieux pas dans un lieu où mes anciens jeunes pas avaient connu la joie et l’intensité il y a quelques décennies et que j’en ai connu une telle félicité que je me suis sentie mieux, rajeunie, ragaillardie…… ressourcée. Et pan pour ma fierté intellectuelle, c’était réellement le terme qui convenait. Dont acte.
DE QUOI JE ME MELE : Loin de moi l’idée de porter un jugement (autrement dit « je ne vais pas me gêner !) mais je vais me permettre de sortir de ma zone de confort habituelle (cliché) pour aborder un sujet pour lequel je ne suis absolument pas qualifiée (ça c’est sûr), celui des émigrés. TT le monde en dit tout et son contraire mais jusqu’à présent personne n’a de solution. Rassurons-ns, moi non plus, sinon je serais présidente de la République (Ah bon , pas besoin d’avoir de solution pour le poste ???). Faisons bref : quand on me dit « émigrés » je repense au Mayflower, ces émigrés qui ont traversé l’Atlantique au XVII ème siècle en venant de l’Europe avec pour seuls bagages ce qui pouvait tenir dans leur baluchon,  je repense à la conquête de l’Ouest, les chariots brinquebalants garnis d’un chaudron, d’une hache et d’une cafetière e attaqués par les indiens, les loups, les pumas, les, les…., je repense plus près de nous aux Pieds-Noirs quittant – pour la majorité – leur Alsace pourvus au maximum de leurs chaussures bien cirées et allant s’établir dans un pays genre sauvage autant par le  climat et que par ses  indigènes. Donc, rien de nouveau sous le soleil. Et c’est ici que je me pose THE questionnement : Pourquoi au lieu d’être porteurs d’outils de survie, nos émigrés modernes sont-ils détenteurs de téléphones portables, de casquettes Reebok, de baskets Puma et de blousons Nike (ou l’inverse, on s’en fiche d’ailleurs ou ce sont des faux ou des dons, j’ai bien compris !). Pourquoi amerrissent-ils dans des régions déjà soumises à la loi du chômage au lieu d’aller coloniser des terres qui ne demandent qu’à être cultivées, des villages abandonnés, des pays dépeuplés. Il n’y a pas de paysans, d’artisans, d’éleveurs parmi eux ? Personne qui sait travailler de ses mains, de ses pieds, de son cerveau. Pourquoi au lieu de les stocker aux environs de villes déjà pourvu en SDF ne les dirige-t-on pas vers des régions en déshérence et au lieu de leur fournir en blousons, en baskets en tentes on ne leur confie pas des marteaux, des clous, des planches pour construire des logements. Pourquoi ne pas leur donner des graines, du bétail, des outils pour cultiver, élever et fabriquer. Les très chicos ONG et autre DAL pourraient les encadrer et les diriger dans un premier temps et il ne manquerait certes pas de bénévoles. Les émigrés pourraient mettre en avant leur désir de  « On improvise, on s’adapte et on domine ». Et qu’on ne vienne pas me rétorquer qu’il s’agit là de les « parquer » ; tt le monde connaît le quartier chinois, et des rues entièrement nationalisées, les rues turques ou les immeubles africains.
Bien entendu, comme je dis toujours, dans mon ignorance des réalités de la chose – (mais je parle comme les politiques ???!) je ne me permets pas de juger, prendre parti ou simplement de me mêler de ce pour lequel je ne suis pas qualifiée. Ou si peu.

VACHERIE :  Holà, holà ! Réacs, fachos, rétros de tous poils, me voilà parmi vous. C’est bien de moi que je parle. J’ai vraiment  mal à l’angle de mes yeux devant les modes déshabillées, dénudées, dévoilées, transparentes, suggestives et autres qu’adoptent  certaines engeances féminines. Il faut que j’avoue à ma courte honte que lorsque je vois nombre de  donzelles dans des tenues minimalistes – je vais être méchante, oh comme je vais être méchante – ça me fait penser à de la viande à l’étal d’un boucher. Voilà, c’est dit. De la viande que l’on exhibe et ballotte  sous le museau de divers plantigrades qui sont ravis et n’attendent que l’occasion de pouvoir mordre dedans qu'elles se le disent.  La viande est faite pour être emballée et pas dans un plastique transparent sinon elle s’avarie rapidement mais dans un joli papier qui la protège et la  met joliment en valeur. Et qu’on ne me parle pas des nudistes ; je n’ai encore jamais vu de nudistes au  Pôle Nord (quoique, je n’y suis jamais allée, au fait) ni en Sibérie (pas plus), bon, ni même en Lorraine par moins 14 °. Alors ? Comment ça, jalouse ? Oui, un peu aussi, bref, passons.  Donc, pour en revenir aux  pauvres filles dénudées, elles génèrent autour de leur déballage de chair non seulement des hommes qui salivent  mais leurs congénères femmes moins gâtées qui bavent. De quoi aller se rhabiller somme toute.

AIME PAS : Je n’aime pas la musique, je ne suis pas mélomane… Ca ne se force pas, je ne suis mm pas musicienne. Mais,  comme j’envie ces gens qui s’extasient sur un oratorio de Bac, s’envolent  sur un aria d’opéra ou se pâment sur une sonate au piano. Je n’aime carrément  pas la musique, voilà, je l’ai dit. Pourtant j’ai beaucoup chanté ; Est-ce musique ou non ? J’ai étudié le solfège et j’étais bien notée, j’ai mm joué de la guitare et je n’étais pas mauvaise. Mais avec le temps, je préfère le silence à tte forme de musique. C’est mauvais pour moi, ça ??? Tant pis, je confirme, je déteste la musique.
Je n’aime pas les yaourts… Je ne peux pas me forcer, ça me fait vomir, un point c’est tout. Et pourtant, comme j’envie ces femmes qui se régalent d’un yaourt léger et bien froid au cœur de l’été, un brassé aéré ou un goût bulgare de derrière les fagots. Moi, j’ai horreur de ça, voilà, c’est tout. Pourtant, j’adore le fromage, tous les fromages mais le yaourt…….. berk . Ca ne fait pas de moi une mauvaise personne, si ??? Tant pis, je confirme, je déteste les yaourts.
Je n’aime pas ma ….

POLITESSE :  De mon temps, de mon temps, de mon temps, de mon temps (désolée, je ne vois pas comment le présenter autrement) donc, dans mon jeune temps, la sémantique ne connaissait pas le politiquement correct. On taillait dans le vif : on disait,  – non, du reste, on ne disait pas, on chuchotait : « Inverti » (mais ce sont juste des artistes et ils sont passibles de la prison, mais si, ma chère, c’est un crime !). Chômeur ? C’est quoi, un chômeur ? Ah oui ! Un faiiiiiiiiiiinéant qui ne sait faire que des gosses et se saouler.  Une divorcée, c’est une femme déchue (oui, c’était toujours la faute de la femme), on ne la reçoit pas chez soi, des fois que ce soit contagieux. Celle qui a un enfant sans être mariée, était une  fille-mère avec un bâtard.  Il y avait aussi la drogue, mais ça c’était juste pour les riches.  Excessif ? Peut-être... Sans doute même mais désormais, on s’autorise, on revendique, on s’exhibe. La Gay Pride pour la LGBT*, le mariage pour tous, le bébé toute seule de la maman-solo,  les familles recomposées,  Les papa du week-end et pour les vacances, la semaine chez maman avec un nouveau papa, les pensions alimentaires, les working girls de tous poils.  Les : pas de papa mais deux mamans (ou vice-versa),  Nous comptons des millions de « demandeurs d’emploi », nous jonglons avec les pensions alimentaires des divorces, remariages, redivorces, reremariages et la drogue fait partie de notre quotidien. 
Moi, je veux bien tout cela. Mais, n’oublions pas par pitié que les gens comme moi ( ?) sont nés dans un autre millénaire. Si, si. Et, je ne peux pas tout gober les yeux fermés sinon il faudrait que je renie tous les préceptes de ma jeunesse et on ne peut pas demander ça à un être humain normalement constitué, n’est-ce-pas. Ces gens qui revendiquent leur liberté d’être, m’autorisent-il la mienne ? Ai-je le droit de détourner les yeux quand deux hommes s’embrassent à pleine bouche, de fermer mes oreilles quand un couple se rejette  de l’un à l’autre la garde de leur enfant,  de m’inquiéter de la drogue dans les collèges ou de la fatalité du chômage.
Peut-être ne  suis-je pas à la mode, ni « in » ni « fashion » ni « dans le vent » mais si  je suis suffisamment cool pour accepter le monde tel qu’il est, qu’il est la politesse de me rendre la pareille.


UN MILLIARD OU DEUX : Un sou c'est un sou. Ok, d'accord.   Un milliard ? Pas mieux. Non. La preuve ? On nous annonce "Le projet est estimé entre 5 et 6 milliards". Gloup. Il faudrait savoir, c'est 5 ou 6 ? On parle tout de même de MILLIARDS nom d'un petit bonhomme en bois,  pas de sous. Ou alors de   1.000.000.000 de sous. "Oh, vous n'allez pas faire la chochotte pour un petit milliard de différence". Ben si. Moi qui attrape déjà le tournis à tenter de me représenter le salaire de certains, à un milliard, je décroche. Et je préférerais que l'on s'en tienne au 5 sans aborder le 6. Il faut avoir la cuisse bien légère pour passer ainsi un milliard sous la jambe ou alors, on que l'on nous le dise franchement si on nous prend pour des jambons.

LE BAISER :
S'il n'en n'était que du baiser de Judas, je saurais éventuellement m'en accommoder, mais désormais, ns avons également droit à celui de Michèle, Sandra, Patrick, Brigitte, Murielle, Emmanuel, Claude etc... Nombre de connaissances, de connaissances de connaissances se croient autorisées, que dis-je, Obligées, de saluer chaque rencontre d'une embrassade intempestive et pour ma part, incongrue. De mon côté, je tends une main décidée ce qui ne les stoppent nullement et ils rétorquent avec une lippe impérieuse autant qu'autoritaire. Et même pas capables de se mettre d'accord sur la quantité : deux minimum, mais souvent trois quand ça n'atteint pas le quatre. Ca bise à tout va et le plus souvent dans le vide car c'est plus le mouvement qui compte, le déplacement d'air plus que l'intention affective. Je suis d'une génération et d'une éducation où le baiser est rare, discret et justifié. Il vient du fond du cœur pour atteindre en douceur un autre cœur et je ne le pratique pas indûment mais je le réserve à un petit cercle minoritaire et bien-aimé ou à tout le moins, privilégié. Evidemment bien sûr, ce faisant, je m'expose à des considérations de l'ordre du "Oh, celle-là, elle se croit, quelle poseuse !" ou encore "Faut-être de son temps !" Justement, le temps, je ne veux pas le perdre à me laisser infliger des rites qui n'ont pas mon agrément. Je ne veux pas que l'on m'impose un baiser. Je veux juste en disposer, de tout mon cœur.

ATTENTATS :
Nous vivons des temps troublés dans notre beau pays de France ? Certes, mais temps et troublés font bon ménage, hélas. Et ça n'est pas nouveau : j'ai connu mai 68, (oui, je sais, c'était de la blagounette), j'ai malheureusement connu la guerre d'Algérie, cette sale guerre qui ne voulait pas dire son nom ; outre les morts du Maghreb, il y eut aussi sur le sol français des attentats qui tuèrent ou martyrisèrent des innocents. La génération de mes parents a connu la seconde guerre mondiale, mes grands-parents, la première. Mes arrières-grands-parents ont connu la guerre de 1870. Je continue ? La révolution française et avant ça, même des tueries entre français au nom de la religion, de la couleur d'un panache ou autre. J'ai lu que si l'homme était aussi combattif c'était un résidu du cerveau reptilien datant de l'époque des hommes des cavernes qui devaient sans cesse lutter contre les grands prédateurs... Il serait peut-être temps que l'on s'extirpe de nos peaux de bêtes, non ? Bref, le goût de tuer son prochain est ancré dans nos gènes. Ah bon ? Je ne me sens pas tellement l'envie de trucider mon voisin pourtant. Au sujet des attentats, on parle de "terrorisme". Objection, il faudrait bien reconnaître que c'est une vraie GUERRE et les traiter comme tels car nous avons bel et bien  un ennemi qui veut notre perte. En mars 1939, un chancelier britannique, Neville Chamberlain, était tout-à-fait persuadé qu'il avait réussi à préserver la paix par des bonnes paroles et des bons sentiments ; au mois de septembre de la même année, la Pologne était envahie et Hitler déclenchait la seconde guerre mondiale.
Quant on veut dîner avec le diable, il faut avoir une longue, longue cuillère.